Il peut s’abattre sur n’importe qui, n’importe quand. Il attaque masqué sur la place publique, dans les cours d’école, au travail, humilie, viole l’intimité et pousse parfois au suicide. Le cyberharcèlement est assurément une forme de torture moderne. Toutes les agressions sont permises : insultes, moqueries, rumeurs, usurpations d’identité, ou encore espionnage : que fait la police pour confondre les cybercriminels ? Presque rien. Que dit la justice ? A peine davantage. Enquête sur un mal moderne difficilement saisissable, aux conséquences parfois tragiques.
Le rôle de l’intersectionnalité et du contexte dans la mesure de la violence basée sur le genre dans les universités et les organismes de recherche en Europe
L’objectif de l’article est de discuter de la manière dont une réflexion intersectionnelle et contextuelle sur la violence basée sur le genre peut non seulement